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Berliner Strasse

Sombre chant

Berliner Strasse

La société déshumanisée,

Le plaisir sous toutes ses formes,

Pouvoir et dépendance.


La concrétisation de ce projet fut présentée lors du Festival d'Avignon 2000 au théâtre de La Luna.




Distribution

Revue de presse


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Le Mensuel du Theâtre et du spectacle vivant, Utopia

Jeudi 20 juillet 2000

Ils sont quatre. Le visage de poupée de Violaine Brebion, l'air blasé de la belle Anouk Azar, le regard vif et le sourire mutin d'Emmanuel Bodin et le charisme puissant de Wolfgang Pissors, tout cela nous entraîne dans les rues d'un Berlin entre deux eaux : de la Gaie Misère d'après 18 aux compromissions du nazisme, en passant par le libertinage insouciant de l'entre-deux-guerres, se succèdent les tranches de vie du petit peuple berlinois - un peuple qui, entre plaintes et chansons, s'accommode comme il peut du quotidien.

Le montage habile de Marie-France Lahore nous emmène avec bonheur dans un univers brechtien aux facettes méconnues : ainsi le choix de mettre en espace les poèmes érotiques, pour la première fois sur scene.

Un spectacle intéressant aux talentueux interprètes.


Camille CHAMOUX



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La Provence, vu dans le off, « Sombre chant »

Jeudi 17 juillet 2000

La Compagnie Les Tréteaux du Soleil propose une virée musicale, façon cabaret de l'ange noir, dans l'univers de Brecht. Ce condensé de la pensée brechtienne opte pour une forme originale qui pourrait se nommer tragédie musicale. Les chansons, le plus souvent en VO, sont ces fameux "lieder", textes de Bertolt Brecht et musiques de Kurt Weill. Les quatre comédiens excellent à nous plonger dans ce comprimé d'humanité dérisoire, à nous faire visiter les œuvres et l'époque troublante de l'entre deux guerres.

Option rare, les "poèmes érotiques" ne sont pas oubliés.

La mise en scène de Marie-France Lahore est fort appropriée au propos, et Mireille Guillaume est parfaite au piano.


Patrick Woog

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